L’investissement Girardin industriel est extrêmement intéressant pour celui qui souhaite réduire son impôt sur le revenu. Il s’adresse plutôt aux contribuables à forte charge fiscale, et le choix du montant à investir dépend en partie de ce critère. D’autres variables entrent aussi en compte dans la détermination du calcul du montant à injecter dans ce support de placement qui, pour rappel, se déroule exclusivement en outremer.
Considérer la situation fiscale du contribuable
Celui dont l’impôt sur le revenu est de plus de 3 000 euros enregistrera le meilleur rendement en investissant par le biais de la loi Girardin industriel. Dans certains cas, il est possible de souscrire avec une imposition moindre en acquérant des parts de sociétés, telles que celles d’une société en nom collectif (SNC) qui fonctionne dans un montage Girardin.
C’est donc à partir de cette imposition que se fera le calcul du montant de l’apport de l’investisseur, en ciblant une défiscalisation qui viendra totalement gommer ses impôts, ou en réduire une importante partie.
Tenir compte de l’objectif de défiscalisation
Comme mentionné plus haut, la défiscalisation sera déterminée en fonction de la réduction d’impôt visée. Cela, en sachant que la réduction fiscale couvre la totalité du montant de l’investissement, et même plus, c’est-à-dire qu’elle est estimée à environ 110% de l’apport de l’investisseur.
Par ailleurs, le montant de l’apport lui-même sera calculé en fonction du type de matériel qui fait l’objet de l’investissement. Rappelons que c’est une entreprise en outremer qui va louer ce matériel, et que trois associés injecteront leur apport dans le cadre de son acquisition. Ces derniers sont l’entreprise elle-même, l’investisseur et un établissement de crédit qui finance la plus importante partie du matériel.
Découvrez tous les avantages de l’investissement Girardin avec un spécialiste : le groupe profina, spécialisé dans les montages de dossier juridique.